L’heure est aux confidences et Patrick Sébastien n’a pas sa langue dans sa poche. Lors d’un entretien avec Soirmag, le producteur se livre à cœur ouvert sur son hygiène de vie.
À l’occasion de la sortie de son dernier ouvrage, le 31 octobre dernier, intitulé Le carnaval des ambitieux, et à son invitation spéciale dans Vivement Dimanche, le 29 décembre dernier, l’animateur de 71 ans s’est confié dans les colonnes de Soirmag, ce mercredi 25 décembre 2024. Comme dans son livre, il fait la revue de la carrière de plusieurs célébrités, tout en contemplant ses 50 ans de métier.

Au détour de remarques sur les grandes ambitions de Céline Dion, chanteuse qui a malheureusement été accablée par la maladie, Patrick Sébastien a fait des confidences cash sur sa propre hygiène de vie. «Moi, j’ai réussi à trouver le juste milieu», a avoué celui qui est soucieux pour sa santé. D’un côté, «je ne picole pas, je ne bois pas », a assuré Patrick Sébastien. Mais de l’autre, «je fume trop, mais c’est ma liberté.»
Et il a révélé qu’il a besoin de deux choses dans sa vie pour aller bien. La première chose, c’est écrire, «car je prépare mon prochain livre, “Ce que valent nos vies”, celles des gens haut placés ou ordinaires», a-t-il expliqué. La seconde chose est de «ne pas être pris au sérieux pour rester paillard».
Il a conclu simplement : «Plutôt que la respectabilité, je choisis la popularité.» De plus, l’animateur a décidé d’accepter son sort, il a assuré : «J’ai 71 ans et je crois qu’il ne sert à rien de se mettre en colère contre son sort ; il faut accepter les accidents de la vie et ses erreurs. Je suis fataliste.» Pour lui, «il faut accepter d’avoir été. Moi, je l’accepte. La télé, c’est fini

Patrick Sébastien fait des confidences douloureuses sur son enfance
Dans ce même entretien, le producteur en a profité pour faire des confidences plus personnelles, sur son enfance difficile notamment. Une période de sa vie qui a été marquée par l’absence de son père biologique. «En 1953, quand j’étais le bâtard du village et que je me faisais cogner dessus, on disait : “Va te plaindre à ton père, t’en as pas !” C’était violent», a confié Patrick Sébastien. Une absence qui a poussé l’animateur à vouloir être connu. «Jeune, je voulais être reconnu», a-t-il avoué. Pour autant, même s’il peut «faire des recherches ADN pour connaître (son) père», il ne le souhaite pas