Affaire Bétharram : François Bayrou menacé, Emmanuel Macron réagit aux révélations

François Bayrou accusé  (1/10)

Plusieurs personnes ont accusé François Bayrou, en tant qu’élu local et ministre de l’Éducation de 1993 à 1997, d’avoir passé sous silence des accusations de violences, notamment sexuelles, à Notre-Dame de Bétharram.  

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Des viols et des agressions sexuelles pendant 50 ans (2/10)

Après un an d’investigations sur plus d’une centaine de plaintes, il a été rapporté dans la presse que des viols aggravés et des agressions sexuelles auraient été commis entre 1957 et 2004. 

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“C’était d’une violence extrême” (3/10)

“C’était d’une violence extrême. Un jour, il y a le père supérieur, le pédophile, qui est arrivé dans un silence de mort dans le dortoir. Il y a une bille qui est tombée de mon pantalon et qui a roulé. Il a demandé qui avait fait ça et je me suis dénoncé. Il m’a foutu par terre. J’ai pris des coups de pied dans le ventre, dans la tête, partout !”, a raconté Olivier, ancien pensionnaire à Bétharram, arrivé en 1955, âgé aujourd’hui de 78 ans. 

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L’épouse de François Bayrou visée  (4/10)

Fin février, trois hommes ont été placés en garde à vue et l’un d’entre eux a été mis en examen pour viol dans le cadre de cette affaire de violences sur mineur. L’épouse de François Bayrou, elle, enseignait le catéchisme dans l’école. On lui reproche de n’avoir rien dit sur ce qui s’y passait.  

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Le soutien d’Emmanuel Macron (5/10)

Le Premier ministre a dénoncé “la mécanique du scandale qu’on cherche” et les attaques envers sa famille, après qu’une ancienne professeure de mathématiques de Notre-Dame de Bétharram a assuré que sa femme avait connaissance des faits et gestes de certaines personnes dans l’école. Toutefois, Emmanuel Macron a tenu à défendre François Bayrou. 

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“Il a toute ma confiance” (6/10)

“Le Premier ministre a répondu à toutes les questions sur ce sujet avec beaucoup de clarté. Le Premier ministre, je l’ai nommé et il a toute ma confiance”, a-t-il déclaré sur le sujet. 

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Le combat d’Emmanuel Macron (7/10)

“Ces témoignages, des années, des dizaines d’années après, sont extrêmement bouleversants. Le combat de la lutte contre les violences qui sont faites à nos enfants, c’est le mien depuis le début et je le mènerai jusqu’au bout”, a-t-il ajouté. 

François Bayrou maintient sa version (8/10)

Le mercredi 14 mai 2025, devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale, François Bayrou a confirmé sous serment qu’il n’avait “pas eu d’autre information que par la presse” des faits survenus à Bétharram quand il était ministre de l’Éducation nationale entre 1993 et 1997.  

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L’envie de François Bayrou de s’exprimer (9/10)

Il était important pour François Bayrou de pouvoir s’exprimer de nouveau, cette fois-ci devant une commission d’une telle ampleur. Il a toutefois critiqué cette dernière qu’il n’a pas trouvée très objective.   

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François Bayrou juge utile sa présence devant la commission  (10/10)

“Si ma présence comme cible politique a permis que ces faits apparaissent, ce ‘Me too’ de l’enfance, alors cela aura été utile”, a-t-il déclaré. Peu importe ses propos, vous l’avez compris, François Bayrou est soutenu par Emmanuel Macron. 

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Il y a quelque mois, des témoins ont accusé François Bayrou d’avoir fermé les yeux sur les accusations de violences, notamment sexuelles, qui ont été portées au sein de l’institution Notre-Dame de Bétharram. Un collège-lycée catholique qu’ont fréquenté plusieurs enfants et la fille de l’actuel Premier ministre. Des faits qui remontent aux années 1990, quand l’homme politique était ministre de l’Éducation nationale et élu local. Emmanuel Macron est sorti du silence pour commenter cette sombre affaire.

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